Pyrénées-Orientales - Saint-Jacques : La mairie d'extrême-droite ne sera jamais du côté de la solution

Francis Daspe

Dès le début de son mandat, le maire d’extrême-droite Louis Aliot a fait l’étalage de sa folie destructrice sur le centre historique de Perpignan et plus précisément sur le quartier Saint-Jacques. Sa logique est simple : tout doit disparaître ! La municipalité s’est en effet lancée dans une logique de gentrification (en dépit des dénégations) dont les principales victimes sont les habitants du quartier le plus pauvre de France.

Les groupes d’action perpignanais de La France Insoumise ont enquêté sur le projet de démolition des 7 îlots ciblés par la mairie entre la place Fontaine neuve, la rue Llucia, la rue des Carmes et la rue des Potiers. Nous sommes soulagés par les conclusions du commissaire enquêteur qui vont dans le sens de ce que nous avions pressenti et évalué, notamment à travers nos nombreuses discussions avec les habitants. Il n’y a effectivement pas d’alternative à la démolition-reconstruction de l’îlot place Fontaine neuve, comme pour celui du croisement des rues Llucia, des Potiers et du Paradis. En revanche, il est inadmissible de viser la démolition des 5 autres îlots ciblés, raisonnablement réhabilitables avec un peu de bonne volonté et en impliquant les habitants du quartier.

L’Observatoire Citoyen de la Vie Quotidienne (OCVQ), boîte à idées des Insoumis perpignanais pour les questions municipales, tient à assurer les habitants du quartier Saint-Jacques et ses commerçants de tout son soutien et continue à s’inquiéter, à s’indigner, des positions de l’extrême-droite municipale que nous entendons déloger.

Pour l’OCVQ : Mickael IDRAC

Francis Daspe (11-11-24)

 


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